En dépit des sombres temps qui courent…
ou plutôt : en raison-même de cette période d’anti-joie, je vais propager encore et encore plus la joie.
Parce que sinon, ça voudrait dire que c’était du chiqué, une posture « pour me faire mousser », de prôner le rose avant qu’on tombe dans la sinistrose : la lumière ne s’éprouve et ne prend son éclat véritable qu’au contact de l’ombre.
Et aussi parce que, quand la propagande d’épouvante partout déployée nous dicte de capituler devant son drapeau noir, choisir la voie contraire, celle de l’envie de bonheur opiniâtre, devient un acte révolutionnaire. Peut-être, l’acte révolutionnaire ultime…
Je t’offre donc, en antidote puissant aux sombres ritournelles reprises en choeur par les médias, ma Bliss Playlist, plus réconfortante et sucrée que la plus merveilleuse des friandises.