
L’une des mises à l’épreuve les plus rudes à laquelle se confronte actuellement notre volonté de demeurer calmes et confiants, face à la tournure cauchemardesque des événements initiée par l’allocution présidentielle du 12 juillet, c’est ce que je nomme « la sensation de nourrir l’hydre ».
Nous assistons en effet (en tout cas, à l’heure où j’écris ces lignes) à un phénomène qui a de quoi décourager les esprits les plus forts, et rendre fous les mieux armés intellectuellement : c’est comme si plus les preuves des mensonges d’Etat dans cette « crise sanitaire » s’accumulaient, plus les faits sur la corruption et l’incurie de nos dirigeants, la complicité des médias, le fonctionnement mafieux des labos, les données bidonnées, le blocage des traitements efficaces, la dangerosité (à tout le moins les effets inconnus) des vaccins, devenaient manifestes, indéniables et accablants… plus le narratif officiel les récupérait pour les détourner à son profit et s’autojustifier. C’est cela, « la sensation de nourrir l’hydre »: quoi que nous disions, écrivions, fassions pour révéler la vérité et nous défendre, le monstre à plusieurs têtes l’utilise à son profit pour grandir et se renforcer. Comme le fait le dragon de la propagande sanitaire.
Alors, comment combat-on l’hydre ? Il faut sûrement revenir à la mythologie pour trouver des réponses et des pistes sérieuses… N’ayant pas encore eu le loisir de me replonger dans les récits de héros terrassant les monstres, je m’en vais vous exposer ma théorie sur le sujet.
L’idée centrale est que les combattants de l’hydre ont tout intérêt à s’unir en communautés. Des communautés pas obligatoirement géographiques, mais d’âmes. Et de compétences et talents diversifiés et complémentaires dont nous sommes tous pourvus.
Pour survivre et vivre le plus dignement possible dans la société américaine ségrégationniste des années 60, tout en menant la lutte pour conquérir ses droits civiques, la communauté noire a mis en place un réseau parallèle exemplaire, capable de répondre de manière à la fois autonome et solidaire à ses besoins fondamentaux: éducation, soins, logements…
Je pense que, quels que soient les événements qui nous attendent (je veux dire, même si on parvenait à échapper in extremis à un pass qui n’a rien de sanitaire, plutôt tout d’un intolérable ségrégationnisme), il faut avoir la lucidité courageuse de se le dire, une bonne fois pour toutes : on ne peut plus compter sur ce système mortifère et moribond, plus que sur nous-mêmes et nos forces vives.
J’en ai longtemps eu l’instinct, l’intuition, l’idée, ça devient aujourd’hui une certitude: ne faisons plus confiance aux structures qui nous régentent et nous asservissent, mais aux Hommes (au sens universel d’ « humanité »). Et pensons, organisons, construisons-la enfin, Notre Société.
»J’en ai longtemps eu l’instinct, l’intuition, l’idée, ça devient aujourd’hui une certitude: ne faisons plus confiance aux structures qui nous régentent et nous asservissent, mais aux Hommes (au sens universel d’ « humanité ») »
Bonsoir , je suis tout à fait d’accord avec ceci .
F.
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Alors nous sommes au moins 2, et c’est déjà un espoir 🙂
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