La littérature ne doit pas être une entreprise à empailler les mots et momifier la pensée.
Encore moins la greffière putassière des autorités et de leur propagande.
La littérature a le devoir de rester vivante, grouillante, insolente, incorruptible et pugnace, afin de s’imposer, quand sonne l’heure de la tyrannie, comme le meilleur porte-voix de la Liberté.
Tyrannovirus – Editions Titanic-Toursky – 12 € – Sur commande chez tous les libraires