… enfin non, pas exactement. Disons que pendant le Festival de Cannes, En mode joie se fait son propre festival, fidèle à ses grands principes : humour, dérision, parodie, imaginaire en roues libres.
Et après tout, vu l’univers en toc qui émerge chaque année sur le tapis rouge, fausses plantes, faux sourires, fausses plastiques, fausses émotions surjouées à propos d’un art censément engagé et généreux, qui s’auto-encense dans un entre-soi qui nous insupporte ou nous indiffère, je me dis, ma foi, que mon cinoche n’est pas plus mauvais que le leur.
En mode joie vous souhaite une bonne projection.