Il y avait déjà des blogs mode et beauté, des blogs pour le Webmarketing et la pêche à la mouche, des blogs pour tous les besoins et tous les goûts. Mais le "booster" pour bloguer, entreprendre, ou juste se lever le matin, le carburant nécessaire à la Vie, l'énergie primaire que réclame notre être, en cette ère "optimismophobe" où les nouvelles flippantes se propagent plus vite que la lumière… c'est la joie ! Entre dans ce blog et prends ta dose de joie quotidienne, dans des chroniques concoctées par une meuf qui, sans prétendre au titre honorifique d'experte en joie, fait métier d'en donner aux autres, sur le Net et sur scène. Ensuite, colporte partout cette joie, montre à la terre entière que la Joie, c'est la grosse tendance d'aujourd'hui et de demain !
Les chroniques moins joyeuses, mais toujours optimistes
Pour comprendre ce que nous traversons en cette période chamboulante à tous les égards, pour en saisir les vrais enjeux, et être en capacité de choisir et dire ce que nous voulons, il importe de revenir à la définition de la vie.
Qu’est-ce-que vivre ?
Que mettons-nous dans ce verbe, et le choix d’existence qui en découle ?
Avons-nous de la vie une vision minimaliste, réduite à nos fonctions primaires et nous maintenant au niveau de la survie?
Ou au contraire, une perspective large, ouverte, palpitante, singulière, vibrante et créatrice qui, sans nier nos besoins élémentaires, ne cantonne pas les aspirations de notre être à leur seule satisfaction ?
Si vivre c’est juste survivre, c’est-à-dire, se percevoir comme une « machine organique » dépourvue de conscience, de désir, de joie, de pleurs, de rêves, de folles espérances… qui n’a besoin que de manger, dormir… et acheter – une « fonction vitale », dans cette société de la consommation omniprésente et mécanique – alors, oui, il est légitime de nous soumettre à l’injonction qu’on nous martèle depuis bientôt un an : « il faut protéger la vie quoiqu’il en coûte », qu’on peut traduire par : « il faut renoncer à notre droit de vivre », pour prolonger une survie dans la peur, et dans un vide sans fin qui nous rend absent aux autres comme à nous-mêmes.
Mais si nous voulons vivre, vivre vraiment, pleinement connectés à nos sens et au sens intime et profond de la Vie, alors, il est légitime de désobéir à l’injonction de la survie.
Mais non c’est rien, c’est juste un masque dans les lieux fermés.
Mais non c’est rien, c’est juste un masque dehors partout en permanence.
Mais non c’est rien, c’est juste un reconfinement.
Mais non c’est rien, c’est juste un test PCR pour pouvoir bosser et voyager.
Mais non c’est rien, c’est juste un masque qu’on met aux enfants de 6 ans.
Mais non c’est rien, c’est juste un couvre-feu à 20h…. à 18h…
Mais non c’est rien, c’est juste un projet de loi qui rendra un vaccin obligatoire pour voyager. Aller dans tous les lieux de vie, prendre les transports en commun, bosser… avoir le droit de continuer à vivre.
C’est rien.
C’est juste une nouvelle forme de dictature, peut-être la plus insidieuse de l’histoire, qui est en train de s’installer.
Je me suis assise sous le plus grand arbre du parc pour prendre de sa force, et continuer à croire au meilleur de Nous.
Et j’ai écrit ce texte, pas pour nourrir le désespoir ni la peur. Mais pour qu’on comprenne la logique à l’œuvre. Et qu’on se donne le choix, calme et déterminé, d’aller vers un autre avenir collectif.
Bon, je crois qu’à part les adeptes hypnotisés du gourou Grands Médias, ou les partisans forcenés du Grand Déni, on a tous capté hein ? Pas la peine de sortir la boule de cristal ni le marc de café pour deviner ce qu’ils ont prévu pour nous : re-re-reconfinement assorti d’une nouvelle campagne de terreur, avant la mise en place du vaccin obligatoire – ou un « obligatoire » déguisé, avec toute l’hypocrisie perverse dont ces hybrides d’Hannibal Lecter et Tartuffe sont capables.
Notez que j’ai écrit « ce qu’ils ont prévu », et non pas « ce qui va arriver ».
Parce qu’on a encore le choix.
Les médias mainstream n’en ont pas pipé mot – tiens donc, comme c’est étonnant ! – mais lorsque leurs dirigeants ont voulu faire passer la loi du vaccin obligatoire, les Danois ont fait le siège, tous les jours, devant leur Parlement, jusqu’à ce que la loi scélérate soit retirée. Car oui, elle l’a finalement été.
On a encore le choix.
Il ne s’agit pas de nous transformer d’un coup en héros, ou en figure de proue de la Révolte… non, prenons les choses à notre humaine mesure, et procédons par étape, voulez-vous ?
D’abord, décidons, en notre âme et conscience, ce que nous voulons. Cela inclut : quelle vie, individuelle et collective, quel système social, quel monde, pour nous et les générations futures, nous voulons ?
A partir de là (car tout doit découler de ce que nous décidons, et non pas de ce qu’on décide pour nous), agissons en conséquence. Cela signifie: dire un non ferme et résolu à ce qui constitue pour nous l’inacceptable (l’inacceptable = ce qui anéantirait tout le sens de notre vie, et serait par conséquent pire que la mort, si nous y consentions). Et incarner, sans plus attendre, dès demain matin, dès ce soir, tout de suite (on n’a plus le temps) « le changement que nous voulons », pour reprendre – même si elle a déjà été maintes fois reprise mais qu’importe puisque je ne trouve pas mieux – la fameuse injonction de Gandhi.
Faisons les choses à notre façon, avec nos propres armes, combatives ou pacifiques, éclatantes ou discrètes, engagement ou dérision, manifestation ou méditation, et même tout cela à la fois… Chacun à son poste, en fonction de ce qu’il est, de ce qu’il ressent, et sait faire de mieux.
Tout compte, tout comptera et fera pencher la balance du côté de la Vie, il n’y a pas de « petits » actes, on l’a oublié mais un sourire, un mot ont le pouvoir de faire basculer le monde, l’espace d’une seconde, d’accord, mais cette seconde-là aura existé et aura prouvé qu’on peut…
Et pour trouver la force de faire tout cela, garder à l’esprit et surtout au coeur qu’on n’est pas seul. Rejoindre les collectifs qui existent déjà: https://www.lessymboles.com/le-monde-sorganise/ et en créer d’autres, pour échapper à la délétère emprise des Hannibal Tartuffe, et reconquérir ce à quoi nous n’aurions jamais dû renoncer, mais il n’est pas trop tard : notre Autonomie, de penser, de choisir, d’agir… de vivre.
« Il est trop tard pour être pessimistes » : alors… au boulot !
La science, quand elle reste intègre, humble face aux mystères du vivant, et apte à accueillir l’Inconnu, rejoint naturellement la spiritualité (on est bien d’accord que ce mot n’a rien à voir avec l’histoire funeste des religions).
Depuis que j’écris, je travaille sur les conditionnements et m’interroge sur les moyens de nous en délivrer. Pour répondre à cette question, je suis longtemps passée par des déconstructions « intellectuelles ».
Aujourd’hui, pour poursuivre ce cheminement libérateur – dans les créations que je partage comme dans ma vie – je n’hésite plus à faire appel à l’intelligence émotionnelle, à l’intuitif, à ce « champ vibratoire » qu’on perçoit dès qu’on fait silence, et qu’on se relie à notre Conscience.
Les propos de cette vidéo me donnent des clés dont j’ai besoin, dont nous avons besoin, je le crois, pour nous « déconditionner ». Et retrouver la confiance en notre capacité à co-construire notre futur. Prendre le temps de visionner cela, c’est déjà commencer à changer nos programmes.
« Le monde a soif, en Vous la source
Le monde hurle, en Vous le silence
Le monde pleure, en Vous le seul baume
Au-dessus des lois, la grâce…
non plus la guerre, mais le Nouveau. Faites-le descendre enfin, ce Nouveau ! »
… mais les hommes libres comme Balavoine, et l’interprétation de cette chanson un soir, pendant laquelle j’ai entendu ma voix pour la 1ère fois, m’ont beaucoup appris.
Et je continue, encore et toujours, à apprendre. Parfois pour redécouvrir la fraîcheur de certaines évidences depuis toujours sues. Mais oubliées avec les fausses leçons des moralisateurs.
Enfant, avant de s’endormir, on plaçait sous notre oreiller la dent de lait tombée pendant la journée, avec l’espoir de découvrir au matin que « la petite souris » était passée.
Ce soir, avant de m’endormir, je placerai dans mon coeur ce texte de l’Abbé Pierre entendu pour la 1ère fois aujourd’hui, avec l’espoir de découvrir au matin qu’une part de sa persévérance, merveilleuse et éternelle, à croire, aimer, offrir soutien et joie, m’aura été insufflée dans la nuit : « Je continuerai »
« Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir
Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine
Je continuerai à construire, même si les autres détruisent
Je continuerai à parler de paix, même au milieu d’une guerre
Je continuerai à illuminer, même au milieu de l’obscurité
Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte
Et je continuerai à crier, même si les autres se taisent.
Et je dessinerai des sourires sur des visages en larmes
Et j’apporterai le soulagement, quand on verra la douleur
Et j’offrirai des motifs de joie là où il n’y a que tristesse.
J’inviterai à marcher celui qui a décidé de s’arrêter…
Et je tendrai les bras à ceux qui se sentent épuisés. »
Ariane Bilheran est psychologue clinicienne, spécialisée sur la question du pouvoir. Je n’aime pas employer l’injonction « il faut », mais vraiment, « il faut » regarder cette interview. C’est exceptionnellement brillant.
Pas de cette brillance artificielle dont les penseurs inauthentiques saupoudrent leurs discours. Non, c’est brillant dans le sens d’un éclaircissement essentiel pour la société et la vie que nous voulons.
Extraits :
« Les philosophes n’ont eu de cesse de dénoncer les complots contre les peuples (…) Machiavel est un conseiller du complot »
« Le paradoxe est le langage préféré des pervers. Vous ne comprenez plus rien, vous êtes sidéré, vous ne pensez plus, vous n’agissez plus »
« Aujourd’hui qui veut penser est criminel »
« On vous supprime tous vos droits, on vous supprime tout ce qui vous humanise : la socialisation, les fêtes, la rencontre, le toucher… »
« On est carrément dans le totalitarisme, puisque l’opinion du peuple et son consentement, on s’en fout ! »
« Ce qui nous humanise, c’est l’amour, la charité, le sacrifice, qui est rendre sacré le lien humain (…) qu’est-ce qui nous humanise ? C’est apprendre à mourir, à nous confronter à la maladie, à la mort »
« Qu’est-on prêts à accepter et jusqu’où, pour ne pas perdre notre humanité ? »
Sur les techniques (parfaitement rodées) de la propagande :
1) le choc traumatique (méthode des harceleurs et des sectes) : « vous allez tous mourir! », répété toute la journée
2) la culpabilité (mécanisme très pervers vieux comme notre civilisation) : « Vous êtes coupables de contaminer les autres »
3) la stratégie de la division : « Je n’aurai confiance en des gouvernants que le jour où ils auront des discours d’union des peuples »
La certitude délirante
« Ce qui caractérise un délire, c’est la certitude absolue (…) certitude absolue de tout ce qui est mis en place. Donc on a bien affaire à un délire »
L’Etat, figure du père
« On projette une figure parentale sur ces gens-là. Qu’est-ce qui se passe si ces gens qui ont tous les privilèges sont des psychopathes cyniques qui veulent notre peau ? On développe le symptôme de Stockholm »
« Dans le code de l’esclavage, le maître doit fonctionner par des méthodes d’intimidation odieuses et terrorisantes »
LA question
« Jusqu’où sommes-nous prêts à perdre notre humanité par peur d’être persécutés ? Je n’ai pas de réponse collective, que des réponses individuelles, à l’inverse de ces tyrans »
« La fin justifie les moyens. Pour protéger les enfants acceptons de les maltraiter. Non, la fin ne justifie jamais les moyens »
Les 2 messages d’Ariane :
« Rendons sacrée la vie, la vie c’est sacré, pas la survie »
« Unissons-nous. Mais pour s’unir, il faut avoir combattu en soi ses propres démons »
Je soussignée, Martine Plaucheur, résidant sur la planète Terre,certifie que ma volonté de sortir du monde actuel est due au motif suivant :
– Impossibilité de cautionner un système aux mains d’une poignée de psychopathes, qui favorisent toujours leurs intérêts personnels au détriment de l’humanité.
*Information complémentaire : à compter de ce jour, je m’engage à faire ma part, là où je suis et avec mes moyens, pour construire un monde nouveau, basé sur les valeurs de gentillesse, d’entraide et de solidarité, sans lesquelles nous ne pouvons pas vivre.
L’optimisme prôné et diffusé par ce blog ne part pas d’un déni du réel, mais tout au contraire, d’une observation lucide de ce réel.
La crise que l’on sait a démarré en mars 2020. Où en sommes-nous à la fin octobre ? Voici, résumé en 3 points, le réjouissant programme que nous réservent nos dirigeants :
1- Faire régner la terreur
2- Interdire de soigner les gens
3- Tous nous enfermer
Il me semble que, parvenus à ce stade de maltraitance individuelle et collective, où l’incompétence crasse le dispute au cynisme veule, il serait bien avisé de notre part de nous tourner vers des esprits intelligents et soucieux de l’humain. Réfléchis et constructifs.
Je vous propose donc d’écouter le programme alternatif que nous propose Philippe Guillemant. Ce physicien original et brillant lance l’idée d’un « futur collectif de l’humanité qui pourrait changer ».
Même les moins enthousiastes d’entre nous en conviendront : nous n’avons plus rien à perdre… et puis, je vous partage cette phrase entendue tantôt, parfaitement raccord avec ce blog dédié à la joie : « il est trop tard pour être pessimiste ». Alors… bonne écoute, et bonne réflexion !