Il y avait déjà des blogs mode et beauté, des blogs pour le Webmarketing et la pêche à la mouche, des blogs pour tous les besoins et tous les goûts. Mais le "booster" pour bloguer, entreprendre, ou juste se lever le matin, le carburant nécessaire à la Vie, l'énergie primaire que réclame notre être, en cette ère "optimismophobe" où les nouvelles flippantes se propagent plus vite que la lumière… c'est la joie ! Entre dans ce blog et prends ta dose de joie quotidienne, dans des chroniques concoctées par une meuf qui, sans prétendre au titre honorifique d'experte en joie, fait métier d'en donner aux autres, sur le Net et sur scène. Ensuite, colporte partout cette joie, montre à la terre entière que la Joie, c'est la grosse tendance d'aujourd'hui et de demain !
La littérature ne doit pas être une entreprise à empailler les mots et momifier la pensée.
Encore moins la greffière putassière des autorités et de leur propagande.
La littérature a le devoir de rester vivante, grouillante, insolente, incorruptible et pugnace, afin de s’imposer, quand sonne l’heure de la tyrannie, comme le meilleur porte-voix de la Liberté.
Tyrannovirus– Editions Titanic-Toursky – 12 € – Sur commande chez tous les libraires
« L’espace, c’est la conscience » nous explique Philippe Guillemant. Et ça bouleverse tout notre prisme de compréhension, ça le constelle d’intuitions flamboyantes venues de la Galaxie des Possibles Infinis…
Quand Henri-Frédéric Blanc, chef de file du mouvement littéraire iconoclaste de l’Overlitterature, et créateur de la collection irrévérencieuse Merde à… , m’a lancé l’invitation, honorifique et réjouissante, d’écrire un texte pour son recueil collectif Tyrannovirus, j’ai tout de suite pensé à Major Pinkie.
Seule la Guerrière de l’Amour – l’héroïne au casque rose du roman-photo éponyme que nous avons créé avec David Zaw en 2014 – me semblait équipée du courage et de la folie nécessaires pour se confronter au monstre tyrannique qui, sous un prétexte sanitaire, a surgi dans notre paysage quotidien en mars 2020.
Le Journal de Major Pinkie pendant la guerre contre Coco Virus est un des textes de cet ouvrage réunissant des points de vue singuliers, très politiquement incorrects, parfaitement affranchis des narratifs officiels autorisés.
Tyrannovirus montre que la littérature a son mot à dire. Et possède encore le pouvoir de porter une parole libre, d’autant plus précieuse en cette époque où l’argument d’autorité, cher aux Inquisiteurs d’antan, fait son sinistre retour.
À Idioland, la Présidente-Reine gouverne et édicte son bon vouloir depuis sa chambre
À Idioland, la Présidente-Reine s’adresse à son peuple sur Tik Tok et Instagram
À Idioland, la Présidente-Reine parle et on se tait. Chacun de ses désirs, même le plus irréalisable, fantasque, injuste… doit être mis en œuvre sur le champ
À Idioland, le discours officiel du gouvernement, servilement relayé par les médias Idiolandais, tient lieu de parole sacrée. Aucun débat, questionnement, remise en doute, opinion alternative, fait contradictoire… n’ont droit de cité et sont sévèrement punis.
À Idioland, l’arbitraire le plus inique et stupide a force de loi.
(Toute ressemblance avec un pays que vous connaissez bien n’est pas fortuite).
Il y a quelques années est sorti « Idiocratie », un film prémonitoire sur l’imbécilité dans laquelle nous voyons sombrer aujourd’hui nos démocraties.
L’abêtissement et l’abrutissement quotidiens des esprits, le remplacement de la pensée complexe, seule apte à saisir les riches nuances du réel, par les raisonnements binaires primaires, du débat intelligent par l’insulte vulgaire, et de la liberté de questionner par une propagande implacable qui censure sans s’embarrasser tout ce qui vient la contrarier… constituent désormais le mode de gouvernance préféré de nos dirigeants. Une « idiocratisation » qui s’appuie sur son indispensable allié : l’apeurement. Car un cerveau enlisé dans la peur n’est plus en capacité d’analyser, discerner, cautionner ou désapprouver, choisir, ni initier la moindre action.
L’Intelligence (et ce mot en embrasse tous les champs : intelligence intellectuelle, émotionnelle, intuitive, créatrice…) devient dès lors notre première arme de résistance, le premier rempart pour préserver notre humaine condition.
Et puisque nos dirigeants, et leurs laquais parlementaires et médiatiques, nous prennent de plus en plus ouvertement pour des cons, avec un mépris clairement affiché que nous recevons comme une insulte intolérable, renvoyons-leur l’image de la bêtise crasse qu’ils incarnent à force de la promouvoir. Et dont, funestes pantins sans âme ni conscience, ils laisseront à l’Histoire le souvenir pathétique.
En résumé, je vous lance cette invitation réjouissante mes amis : foutons-nous de leur gueule ! À fond. Dans les grandes largeurs du ridicule. Et sans pitié. Comme eux.
Star de télé-réalité, instagrameuse à succès, créatrice d’une ligne de vêtements « 100% vegan », auteure du best-seller (qu’on lui a écrit): « n’oublie pas de me follow », Kim Noubilla n’est pas seulement un exemple inspirant de réussite et d’épanouissement pour toute une génération de jeunes filles et de femmes. Influenceuse de génie, elle nous montre, toujours avec un temps d’avance, les bêtises euh… les tendances de notre société, jouant en cela un rôle instructif, utile et même, porteur d’une dimension anthropologique. Merci Kim.