Il y avait déjà des blogs mode et beauté, des blogs pour le Webmarketing et la pêche à la mouche, des blogs pour tous les besoins et tous les goûts. Mais le "booster" pour bloguer, entreprendre, ou juste se lever le matin, le carburant nécessaire à la Vie, l'énergie primaire que réclame notre être, en cette ère "optimismophobe" où les nouvelles flippantes se propagent plus vite que la lumière… c'est la joie ! Entre dans ce blog et prends ta dose de joie quotidienne, dans des chroniques concoctées par une meuf qui, sans prétendre au titre honorifique d'experte en joie, fait métier d'en donner aux autres, sur le Net et sur scène. Ensuite, colporte partout cette joie, montre à la terre entière que la Joie, c'est la grosse tendance d'aujourd'hui et de demain !
Toujours prête à se dévouer corps et âme (surtout corps) pour défendre une noble cause, notre Kim internationale lance le slogan (et le hashtag « assorti »): « Protège-toi, protège-moi, follow-moi ! »
Garder la santé, oui ! Renoncer au glamour, non ! Le masque créé par Kim te permettra de rester protégée et sexy tout l’été. Commande-le vite, édition limitée !
*Masque Kim Noubilla : 99,99 € (frais de port offerts)
Dans son émission sur les Ripistes (voir la chronique du 7 juin), Zéro Patron vous a offert de magnifiques phrases pour vos RIP.
Voici à présent les magnifiques insultes du CAFI (les Chevaliers de l’Académie française des Insultes), pour changer des injures injustes aux mamans et aux filles de joie!
Aujourd’hui, dès qu’une star meurt, c’est un déferlement de RIP sur les réseaux sociaux. Ce phénomène a créé le métier de « Ripistes » : Zéro Patron t’explique tout dans cette interview-choc
Mes gags les plus cons se réalisent ! Bouffoneries prophétiques sans boule de cristal, dans un monde où le virus du ridicule sévit fort…
Dans cette vidéo du 3 avril, je recommande la méthode du « footing permanent » pour échapper au virus que l’on sait (à partir de la 1ère mn)… V’la-t-il pas que des Préfets et des élus locaux viennent de nous inventer le concept de « plage dynamique », avec obligation de bouger sans cesse, et interdiction de poser ses fesses sur le sable !
Rions. D’un rire joyeux et frais qui assainit les idées malsaines germant dans ces cerveaux malades.
A l’instar de « la courbe en cloche » que suit – pour l’instant – l’épidémie de Covid (selon le modèle « classique » de toutes les épidémies saisonnières : stabilité – pic – retour à la normale), je boucle la boucle : voilà la vidéo que j’avais postée le 1er février.
Je craignais une contagion redoutable du « Conneria Virus ». Pendant la « crise du Covid », elle a dépassé mes pires prévisions : plus les mensonges du gouvernement étaient énormes, plus les bêtises proférées pour les couvrir le furent aussi (j’en ai tenu régulièrement le pathétique et scandaleux registre sur mon Facebook).
En ce dernier jour de confinement, si la contagion du Covid est – heureuse nouvelle ! – en baisse, celle de la Conneria Virus répandue par l’Etat ne faiblit pas : elle se poursuit à travers des menaces sans fondement scientifique (le risque de la « 2ème vague » ne repose sur aucun fait, aucune donnée existants). Des recommandations confuses, contradictoires, et en dépit du bon sens (la liste est trop longue : je vous renvoie aux « plans de déconfinement » successifs auxquels nous avons eu droit… bon courage !) Et cette propension systématique, très très énervante, à nous infantiliser et à nous punir.
J’espère ne pas avoir trop contribué – surtout pendant les 1ers jours de psychose organisée par laquelle je me suis faite avoir – à la propagation du Conneria Virus que moi-même je dénonce
Ceci étant dit – et assumé – il y a encore des cas de contamination par le Covid. La conduite qui me semble juste, jusqu’à la fin de l’épidémie – conduite que je me suis fixée par ma propre observation des faits, et mon propre jugement – est celle de la prudence sans la psychose.
Une attitude frappée du sceau du bon sens dont nous n’aurions jamais dû nous écarter si, dès le départ, des enjeux et des intérêts bien loin du souci de nous protéger, n’avaient prévalu.
Dernière recommandation de l’influenceuse de joie que je suis, et que je reste contre les vents et marée parfois violents de la vie : déconfinons nos esprits !
La célèbre série Sex and The City, version cagole marseillaise.
Marseille… ville aimée ou détestée mais qui laisse rarement indifférent.
Marseille, souvent sous le feu de l’actualité, et encore pendant la crise sanitaire que nous traversons avec les prises de position et le traitement du professeur Didier Raoult.
Marseille, « ville de contrastes », comme on le dit parmi moult autres clichés parfois aussi exagérés que la tchatche à la marseillaise, parfois justes reflets de la réalité. Et les contrastes chez nous, bé… c’est vrai qu’on en a un moulon ! (traduction : plein, en langage marseillais).
Ainsi, il n’est pas rare de croiser, sur un même trottoir de la rue de Rome ou de la rue Paradis, une dame élégante et une Cagole. Ah ! la Cagole ! Une figure mythique de chez nous, genre bimbo, mais on peut pas la résumer à ça… une Cagole, déjà, elle est trop en tout… trop maquillée, trop haut perchée, trop décolletée, trop parfumée, trop voyante, trop bruyante, trop… et en même temps, elle est bien plus que tout ça… bref, je peux pas te dire: si tu viens par chez nous, tu la reconnaitras.
Cette vidéo leur rend hommage. Parce que nos Cagoles marseillaises valent bien les new-yorkaises de Sex and the City !