Il y avait déjà des blogs mode et beauté, des blogs pour le Webmarketing et la pêche à la mouche, des blogs pour tous les besoins et tous les goûts. Mais le "booster" pour bloguer, entreprendre, ou juste se lever le matin, le carburant nécessaire à la Vie, l'énergie primaire que réclame notre être, en cette ère "optimismophobe" où les nouvelles flippantes se propagent plus vite que la lumière… c'est la joie ! Entre dans ce blog et prends ta dose de joie quotidienne, dans des chroniques concoctées par une meuf qui, sans prétendre au titre honorifique d'experte en joie, fait métier d'en donner aux autres, sur le Net et sur scène. Ensuite, colporte partout cette joie, montre à la terre entière que la Joie, c'est la grosse tendance d'aujourd'hui et de demain !
À la mémoire humaine se superpose désormais la mémoire de nos ordinateurs.
Je me suis surprise hier à ressentir un sentiment de l’ordre de l’affectif, en regardant le vieil ordinateur dont je dois me séparer, et qui contient les photos, les vidéos, le travail d’écriture de tant d’années. Avec tous les moments – à la fois les heures passées devant l’écran, et les événements qui ont marqué cette période de ma vie – qui y sont associés.
» Je veux vous parler de non-violence. Mais qui je suis, pour débattre et théoriser sur ce grand sujet ? Personne et tout le monde. N’importe qui et nous tous. Egalité, et plus d’ego : deux bases fondamentales, je le crois, pour vraiment commencer à penser autrement.
La violence. Nous savons parfaitement qui la génère et de quel côté elle est. L’état a toujours été violent, toujours. Il y a juste des périodes où cette violence se manifeste dans un déchaînement plus visible. C’est tout. Soyons lucides sur ce point, une fois pour toutes. N’en soyons plus étonnés. Ainsi, nous gagnerons du temps. Et mettrons notre énergie, non plus dans la plainte et l’insulte, mais dans l’action. Une action juste, efficace, persévérante, et inarrêtable.
Nous avons affaire à des psychopathes, des créatures dénaturées avec un trou à la place du coeur, qui ne reculeront devant rien, rien, pour conserver leur pouvoir. Et plus ils vont se sentir menacés, plus ils vont dévoiler leur vrai visage. Hideux. Haineux. Glacial. Monstrueux. Sachons-le. Pas pour trembler, non, au contraire : Soyons sans peur. Déterminés. Et animés d’un grand calme.
C’est à ce second point que j’en viens maintenant : le calme dont on ne doit pas se départir. À aucun moment. Ceux qui, dans leurs actions de protestation, appellent au calme (j’en suis) ne sont ni de grands naïfs, ni des mollassons peureux. Ils ont juste compris que répondre à la violence par la violence ne conduit jamais à la victoire. Ou alors, des victoires très brèves, très cher payées du prix des larmes, des blessés, parfois des morts, et tout de suite réprimées avec encore plus de violence par un état voyou qui s’asseoit en ricanant sur les règles de droit. Un cycle infernal.
Ils ont les gardes armées, les blindés, la panoplie complète de Robocop… on n’a aucune chance face à ça. Aucune. Mais on a bien plus. Infiniment plus. Les lois naturelles, les lois de la vie, les lois de l’humanité, et même, allez, osons le mot, les lois du divin sont avec nous. Et je le dis sans référence religieuse aucune. Juste la conscience d’une transcendance que le cynisme orgueilleux de nos sociétés n’a que trop bafouée.
La transcendance. Le plus grand que nous. Et tellement plus grand que ces minuscules pantins dont les vrais maîtres tirent les ficelles en coulisses. Avant chaque manifestation, chaque action de désobéissance, et même, chaque matin, je demande à cette puissance plus forte que tout de me donner de sa force et de m’habiter.
Incarnons le changement qu’on veut. Pas que les samedis après-midi, mais tous les jours, chaque instant. Montrons partout, à tous, la meilleure part de nous. Soyons le miroir, impavide et digne, qui renverra au flic son image grotesque, ridicule, avec son pauvre uniforme et sa pitoyable matraque. Et soyons aussi la manifestation lumineuse, vibrante, souriante, sereine, libre, et souveraine, d’un avenir, déjà présent, qui donnera aux autres l’envie de nous rejoindre (ces autres qui, au fait, sont moi-même).
Et pour parachever ma définition, la non-violence est une grande force. Elle n’a rien à voir avec la naïveté du bisounours. Elle s’appuie sur la certitude, profondément enracinée, de ma souveraineté et de mon autonomie inaliénables. Et elle ne consiste pas à se faire cueillir comme des bleus par les bleus, d’avancer confiants la bouche en cœur vers la cohorte de CRS, et de tendre la joue à la matraque, non !… la non-violence est organisée, patiente, rusée, et inventive. Il nous faut imaginer des formes d’actions originales, percutantes, et pourquoi pas drôles… nous déployer rapides, mobiles, furtifs, en plusieurs points de la ville, pour faire courir les légions romaines en tous sens… ou au contraire, nous tenir rassemblés, assis, inamovibles, silencieux ou chahuteurs… ou… il y a tant de formes de manifestations possibles!… mais quelle que soit la tactique choisie, l’appliquer dans le calme, je le répète, j’insiste. Parce qu’être libre, c’est ne plus être esclave de nos émotions, et de notre réactivité qui nous fait tomber direct dans leurs provocations et leurs pièges les plus grossiers.
Si je devais synthétiser ce long pavé (un de ceux que je ne balancerai pas en manif, sauf cas extrême de légitime défense) en trois mots : Souveraineté. Sérénité. Inventivité « .
Toute expérience ou période sombre recèle sa part de lumière.
Son cadeau qui consiste en de nouvelles étapes à franchir pour nous faire grandir. En authenticité, en autonomie. Et en humanité qui est capacité à aimer.
Le cadeau de cette époque masquée, c’est de faire enfin tomber tous les masques.
Tricher, avec soi et avec les autres, n’est plus possible. Sauf à vouloir maintenir, au prix de toutes, absolument toutes les soumissions consenties, les mensonges monstrueux d’un monde déjà mort, qui agite la peur en espérant cacher les derniers soubresauts de son agonie.
Extrapoler : « tirer une conclusion à partir de données incomplètes ». Autrement dit, anticiper ce qui nous attend en sachant décrypter les informations et les faits présents.
Point besoin de posséder un don de voyance, pour deviner leurs manigances : ma chaîne connerie virale TV extrapole les événements en les tirant jusqu’à leur point d’absurdité maximale. Et force m’est de constater que depuis bientôt 2 ans, hélas, la réalité finit presque toujours par rejoindre mes pires pitreries.
Je finis donc par croire qu’il ne s’agit plus d’heureux hasards. Mais de cette lucidité à la disposition de tout un chacun, dès lors que son esprit a choisi de se tenir en retrait du brouhaha injonctif de la doxa, pour suivre sa voie propre. Fondée sur ce qu’il a appris et validé par lui-même.
N’entrons pas dans les sombres rangs de la conformité, ce fléau qui annihile le meilleur et le plus beau de la vie, son époustouflante diversité, son imprévisibilité porteuse d’une inépuisable magie. Et son énergie primordiale, la joie.
où ceux qui soignent sont jugés et ceux qui laissent mourir honorés, où ceux qui portent une parole intègre sont intimés de se taire et ceux qui nous trompent invités à parler partout… il est nécessaire de chausser des lunettes inversées si l’on veut espérer comprendre quelque chose au cours hallucinant des événements.
Ainsi, paradoxalement, il apparaît que plus la vérité est absurde et horrible, plus elle se maintient, et même se renforce.
D’abord parce qu’il peut être trop difficile, insupportable, pour ceux qui se sont fait gravement couillonner – au point, par exemple, de se faire inoculer une substance risquée, prétendûment libératrice, qu’il va falloir renouveler… à vie ? et d’avoir entraîné leurs proches dans cet engrenage infernal – de le reconnaître.
Ensuite parce qu’il peut être trop difficile, insupportable, de voir la vérité lorsqu’elle est à ce point choquante, terrible : des pays entiers livrés aux profits de Big Pharma et aux délires des transhumanistes, des dirigeants vendus, prêts à hâter notre mort pour obéir aux desiderata de leurs corrupteurs… Regarder en face cette vérité-là entraînerait chez nombre d’entre nous l’effondrement immédiat, et hautement traumatisant, de tout leur univers, des repères qui les ont toujours guidés : « Quoi ? Depuis ma naissance, j’ai été conditionné par des croyances fausses, et l’Etat, mon papa bienveillant, veut en réalité mon mal !» Pas tout le monde n’est taillé ou armé pour encaisser le choc de la lucidité.
Se protéger est un réflexe de sauvegarde humain. Alors, les floués du système s’accrochent de toutes leurs forces au mensonge qui les berce depuis toujours. Avec l’énergie tenace du désespoir. Et plus les faits se révèlent inouïs, inconcevables, monstrueux (le dernier en date: le rapport qui révèle que le saccage de nos vies a été perpétré par nos gouvernants pour 2% d’hospitalisations dues aux virus, 2%…!) plus ils s’y agrippent. Ce qui apporte une aide et un renfort précieux à nos gouvernements bandits : c’est une majorité de la population qui maintient l’échafaudage du narratif propagandiste officiel, et permet du même coup aux manipulateurs criminels qui l’ont monté de se maintenir aussi, à la tête du pays et de leurs bobards éhontés.
Vu sous cet angle renversé, il me semble qu’on comprend mieux pourquoi « ça continue », et de plus belle, en dépit de la masse impressionnante d’informations scandaleuses dont pas seulement une minorité d’alertés, mais tout un chacun, dispose à présent.
Pourtant, la vérité est encore plus têtue que ceux qui veulent rester aveugles et sourds à ses appels.
C’est sa raison d’être, sa fonction, son job, d’éclater au grand jour. Elle presse de tous côtés, ne lâche pas l’affaire, l’échafaudage est en train de se fissurer, et sous ses assauts répétés, conjugués à ceux d’une colère susceptible d’exploser à tout moment, justement chez les plus trompés, ça finira par craquer… mais quand?
Tôt ou tard. Peut-être plus tôt qu’on ne croit. Et peut-être non pas à partir d’une énième énorme révélation, mais du détail de trop, la goutte d’eau, on ne sait pas… et il va falloir que nous autres, qui avons déjà accepté (précocement ou récemment) de la prendre en pleine gueule, cette effroyable vérité, qui sommes allés la chercher même – besoin de savoir ? curiosité naturelle ? inaptitude congénitale à la soumission ?.. – tenions bon pendant ce temps incertain.
Et on tiendra. Ça, on le sait.
Parce que les épreuves que nous avons traversées depuis mars 2020 nous ont révélé une force, une résistance, une inventivité pour continuer à vivre – une « résiliance », pour reprendre le terme désormais consacré – dont on ne se savait ou ne se croyait pas capables.
Et parce qu’on l’a décidé. Choisi du plus profond de notre être. Après un face-à-face crucial avec notre conscience. Alors rien ni personne n’a le pouvoir, vous comprenez bien, de nous faire flancher. Nous aussi, nous sommes têtus.
D’une obstination douce, inspirée ni par une idéologie, ni par une prise de position clivante, jugeante, arc-boutée sur ses certitudes. Mais par le respect de notre intégrité, psychique, physique, morale. Des priorités de notre âme. Et de la Vie qui nous demande de la protéger.
Dire qu’en ce moment, la liberté d’expression est bâillonnée, me semble relever d’une évidence tellement… évidente, que c’est devenu un truisme.
Il faut pourtant continuer, et continuer sans cesse, encore et encore, à dénoncer cette intolérable censure de toute pensée dès qu’elle dévie de la ligne droite du parti. Et de sa propagande d’une vérité unique et sacrée, digne des pires états totalitaires.
Il faut continuer.
Par tous les moyens qu’on peut (pour moi : les mots et l’humour).
Sinon, nous serons réduits au silence total.
Les canaux officiels nous sont interdits d’accès. Qu’à cela ne tienne : créons nos propres espaces, retrouvons-nous y, servons-nous en, et plébiscitons-les.
Nous sommes aussi têtus que la vérité.
Et aussi obstinément, indécrottablement enthousiastes et joyeux que la Vie qui, quelque hiver qu’elle traverse, renait comme le printemps.
Je ne sais si cette Adèle-là, soignante, aura l’heur d’un film sur sa vie…
Pourtant, elle le mériterait amplement, cette inspirante héroïne de notre temps.
Bravo Adèle. De nous montrer que l’intégrité, la vérité, l’éthique, le face-à-face avec notre conscience, ça ne se négocie pas. Ca ne s’effondre pas comme un château de cartes, devant un souvent bien commode: « Je n’ai pas le choix ».