Pour tenter l’aventure de me lire…

Tout compte de mots fait, j’ai pas mal écrit. Et sans avoir la prétention de parler d’une “grande oeuvre”, j’ai le satisfecit de pouvoir présenter, aujourd’hui, un échantillon plutôt varié, ma foi, de mon travail de plume.

Si vous avez l’âme d’un lecteur-explorateur, en quête d’auteurs que les libraires ne mettent pas en tête de gondole, voici les titres de mes ouvrages, et le moyen de se les procurer :

https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/qui-etes-vous-noam-derwich
Disponible aussi en format broché – 8 € (frais d’envoi inclus) – me le commander à : plaucheurm@gmail.com

https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/l-odyssee-bleue-des-mots-infinis

https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/bribes-vagabondes-d-un-non-journal-de-voyage

Singularité initiale – Roman
La quête initiatique de 6 personnages contemporains pour réinventer leur vie
8 € (frais d’envoi inclus) – me le commander à : plaucheurm@gmail.com

« Exprimez-vous Martine » – Anthologie de mes textes sur Facebook, réflexion sur l’écriture virtuelle
8 € (frais d’envoi inclus) – me le commander à : plaucheurm@gmail.com

Tyrannovirus – Collectif
Le titre parle de lui-même… disponible sur commande dans toutes les librairies

Envois avec une dédicace personnalisée, et c’est pas plus cher 😉

Publicité

Etty éternelle

C’est ma lecture du moment.

Dans mes rencontres de livres comme de personnes, je ne crois plus au hasard, ou alors, un hasard qui recèle un sens si riche qu’il n’en est plus un.

« Une vie bouleversée », le journal tenu par Etty Hillesum de 1941 à 1943, est de ces livres qui interrogent notre époque en écho à une autre. Et transcendent les deux pour nous rappeler à notre humanité. Et au courage qui nous est demandé pour la vivre.


« Ne fermer les yeux devant rien, il faut s’expliquer avec cette époque terrible et tâcher de trouver une réponse à toutes les questions de vie ou de mort qu’elle vous pose. Et peut-être trouvera-t-on une réponse à quelques-unes de ces questions, non seulement pour soi-même, mais pour d’autres aussi. Je n’y puis rien, si je vis. J’ai le devoir d’ouvrir les yeux. »

 » On est constamment indigné devant certains faits, on cherche à comprendre, mais rien n’est pire que cette haine globale, indifférenciée. C’est une maladie de l’âme. La haine n’est pas dans ma nature. Si j’en venais (par la grâce de cette époque) à éprouver une véritable haine, j’en serais blessée dans mon âme et je devrais tâcher de guérir au plus vite »


Etty Hillesum – 1914-1943